Arts et Culture

Transmettre le souvenir. Quels monuments pour quelle mémoire ?

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Les organisateurs adressent leurs remerciements à toutes les personnes qui ont oeuvré à la réussite de cette journée d'étude et à sa mise en ligne : l'ensemble des intervenant.e.s, Catherine Maurer, directrice de l'UR 3400 ARCHE, pour son soutien enthousiaste, Guillaume Porte, ingénieur d'études UR 3400 ARCHE, et l'équipe de la Direction du Numérique de l'Université de Strasbourg pour leur aide technique et leur soutien logistique.

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IXe Congrès européen d’Analyse musicale

Du au

Le IXe congrès européen d’Analyse musicale (IXe CEAM - Euromac 9) se tiendra à Strasbourg du 28 juin au 1er juillet 2017.
     Il est organisé par le laboratoire d’excellence GREAM (Groupe de recherches expérimentales sur l'acte musical) de l’université de Strasbourg, la SFAM (Société française d’analyse musicale) et le laboratoire IReMus (UMR 8223 - Institut de recherche en musicologie), sous l’égide de l'ensemble des sociétés européennes d’analyse musicale.
     Ce congrès ambitionne de constituer un événement scientifique de première importance dans le champ de l’analyse musicale et les champs qui lui sont associés. Il réunira des chercheurs du monde entier autour de personnalités éminentes et de conférenciers pléniers prestigieux : Robert Cogan (New England Conservatory of Music, Boston), Jean-Pierre Bartoli (Sorbonne, Paris) et Marie-Noëlle Masson (SFAM).

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Journée d’étude Artlingo : Apprendre les langues par les arts

Le

Une journée d’étude consacrée au bilan du projet Artlingo est organisée vendredi 28 avril 2017, à l'Institut Le Bel.

Créé à l’Université de Strasbourg sous l’égide des Investissements d’avenir (Idex) et à l’initiative de Lara Delage-Toriel et Carole Egger, Artlingo est un projet interdisciplinaire innovant destiné à redynamiser le désir d’apprendre en encourageant l’initiative et la créativité des étudiants et des enseignants.

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Colloque interdisciplinaire « Temps »

Du au

Les 9 et 10 juin, l’Université de Strasbourg organise un colloque interdisciplinaire dédié au temps. Un événement scientifique et public destiné à favoriser l’émergence de projets de recherches aux confins des disciplines.

Il n’y a pas une discipline scientifique qui n’inclue la notion de temps. Chacune d’elle l’aborde à sa manière avec au final une diversité d’approches qui donne à ce concept un statut bien particulier et définitivement pluridisciplinaire. Que ce soit à l’échelle des mécanismes biologiques, à celle de l’évolution du climat ou encore à celle de la physique atomique, les temps sont bien caractéristiques. La notion de rythme et dynamique en est un autre volet que l’on peut retrouver dans les domaines de la médecine de l’économie ou encore de l’histoire. Durant deux jours, le temps sera décortiqué aux travers d’interventions et des débats bien évidemment rythmés.

L’organisation de ce colloque bénéficie du soutien du programme Investissements d’avenir de l’Université de Strasbourg.

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Colloque International : Corps meurtris, beaux et subversifs :
 Réflexions transdisciplinaires sur les modifications corporelles.

Du au

Notre corps change au gré de nos expériences et tout au long de notre histoire. Qu’ils soient subis ou volontaires, ces changements peuvent s’associer à une évolution identitaire, et engager un réajustement des équilibres entre l’individu et son entourage. L'objectif de ces journées d’étude transdisciplinaires est de faire dialoguer les chercheurs — débutants et confirmés — avec les acteurs de terrain. Les conférences, tables rondes et ateliers sont proposés comme des espaces d’échange à travers lesquels se constituera une « réflexion participante » à caractère expérimental.

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Colloque international - "Plaques photographiques, fabrication et diffusion du savoir"

Du au

Un colloque international intitulé "Plaques photographiques, fabrication et diffusion du savoir" est organisé du mercredi 16 au vendredi 18 mars prochains, au Collège doctoral européen.

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4ème Journée des Jeunes chercheurs du GREAM : « Instruments, instrumentalité et lutherie »

Le

Journée organisée par Julie WALKER, Camille LIENHARD, Eric MAESTRI, Thierry MATHIS (membres du GREAM) avec le soutien du GREAM.
     « Tout corps sonore utilisé par le compositeur est un instrument de musique », notait Berlioz en 1843. Cette définition synthétise d’une manière lapidaire toute la complexité de la question instrumentale, et ouvre à la multiplicité d’approches qui caractérise le débat musicologique actuel. Celui-ci se développe autour des notions d’instrument comme objet historique, d’instrumentalité dans la pratique musicale et de lutherie comme processus de construction. Cette journée d’étude, qui s’adresse particulièrement aux doctorants et jeunes docteurs, vise à présenter un large éventail de perspectives transversales relatives à ces thématiques du point de vue des différentes disciplines musicologiques et des multiples protagonistes de l’acte musical qu’ils soient compositeurs, interprètes ou auditeurs.

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Conférence de Bernard Holtzmann - "L’intérêt des collections de moulages dans l’enseignement de l’archéologie en France"

Le

Bernard Holtzmann, professeur émérite à l’Université Paris X - Nanterre, anime une conférence intitulée "L’intérêt des collections de moulages dans l’enseignement de l’archéologie en France", jeudi 25 février 2016, à 18 h, au Palais universitaire.

Cette conférence s'inscrit dans le cadre des événements organisés pour la réouverture du musée Adolf-Michaelis, rassemblant les collections de l'Institut d'archéologie classique, et notamment la première collection universitaire de moulages de France. Plusieurs événements, du 25 au 28 février (période correspondant à la fin de la réhabilitation des réserves du musée), permettront au grand public et à un public scientifique de découvrir ou redécouvrir le musée sous un nouveau jour.

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Colloque « Créer, écouter, ressentir, s'identifier : le dialogue musical franco-allemand aujourd'hui »

Le

Pierre Boulez relevait dans un entretien en 1989 la différence entre le monde sonore de son Marteau sans maître et Zeitmasse de Stockhausen, écrit au même moment, tout en ajoutant qu’il n’y avait là pas automatiquement une tradition « nationale » : l’orchestre de Strauss lui paraissait beaucoup plus « séduisant » que celui de Ravel… Peut-on parler encore de nos jours de telles traditions sonores, avec les jugements de goût qui leur sont liés ? Est-ce que c’est là un cliché à déconstruire ? Quelque chose qui aurait fait retour (dans la musique spectrale, la « musique concrète instrumentale ») ? S’agit-il, avec un tel son global, de davantage que de techniques d’orchestration, et quelle est la valeur accordée à un tel enseignement en France et en Allemagne ? Les interprètes passent-ils aisément d’une culture sonore à l’autre ou peut-on parler de nos jours encore d’interprétations « authentiques » lorsqu’il s’agit de la musique des XXe et XXIe siècles ?

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Rencontre publique avec le cinéaste Werner Herzog

Le

WERNER HERZOG, NÉ EN 1942 EN ALLEMAGNE, EST AUJOURD’HUI CONSIDÉRÉ COMME L’UN DES MAÎTRES INCONTOURNABLES DU 7e ART

Son parcours est aussi l’un des plus originaux. Il débute sa longue carrière en 1962. Son premier long métrage, Signes de vie, est diffusé en France en 1969. Mais on le découvre véritablement grâce à Aguirre, la colère de Dieu, avec Klaus Kinski dans le rôle titre. Herzog est dès lors considéré comme un « génie du cinéma allemand ». Une longue série de succès critiques commence, de L’énigme de Kaspar Hauser (1974) jusqu’à Fitzcarraldo (1982) en passant par Nosferatu, fantôme de la nuit (1978). Après Fitzcarraldo, le silence se fait autour du réalisateur.

Pourtant, entre 1982 et 2005, Herzog ne tourne pas moins de 23 films. Parmi eux, seuls Échos d’un sombre empire (1990), consacré à Bokassa, et Ennemis intimes (2000), hommage à Klaus Kinski, bénéficieront d’une sortie nationale en France.

Ainsi, il faut pratiquement attendre 2005 avant d’entendre à nouveau véritablement parler de Werner Herzog, et ce grâce à Grizzly Man. Depuis les films de Herzog sont régulièrement diffusés, que ce soient des fictions (Bad Lieutenant, 2008) ou des documentaires (Into The Abyss, 2012).

Le talent particulier de Herzog est de savoir, en toutes circonstances, trouver les images appropriées aux histoires qu’il raconte. C’est ce qui fait de lui un cinéaste exceptionnel.

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La pensée et le roman : Catherine CLEMENT, Jean-Claude MILNER

Le

La romancière et philosophe Catherine Clément (Dictionnaire amoureux des Dieux et des Déesses / Plon), entourée de Cécile Backès, directrice de la Comédie de Béthune, et Michel Backès, illustrateur, ainsi que du linguiste Jean-Claude Milner (L’universel en éclats / Verdier, Harry Potter à l’école des sciences morales et politiques / PUF), évoquera pour nous Lacan, l’Inde, l’Opéra, sa vision de l’art… et l’anthropologue Claude Lévi-Strauss.
Sans oublier son tout nouveau roman, Aimons-nous les uns les autres (Seuil), mettant en scène les personnages hors norme et idéalistes de la Commune de Paris.
Rencontre à l'Aubette (à l'initiative de la librairie Kléber)

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Conférence : histoire du Palais universitaire

Le

L’Université de Strasbourg célèbre, cette année, les 130 ans du Palais universitaire, bâtiment inauguré par l’empereur Guillaume I er d’Allemagne à l’automne 1884.

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« Ce n’est pas uniquement une question musicale » (A. Hitler) : Musique « allemande » et musique « dégénérée » à l’époque du nazisme.

Le

Cette déclaration d’Adolf Hitler à propos de son choix d’ouvrir en 1938 le congrès du parti par l’ouverture du Rienzi de Richard Wagner, opéra dont le propos était susceptible de concourir à l’édification de son mythe personnel, pourrait bien s’appliquer à toute la politique nazie en matière de musique, et son principe s’étendre à l’ensemble de sa politique culturelle.

Durant les douze années du nazisme, toutes les manifestations artistiques et culturelles - des formes les plus savantes aux plus populaires - seront placées sous le contrôle absolu de l’Etat grâce à un réseau institutionnel tentaculaire resté longtemps sous-estimé. Les Juifs, qu’ils soient musiciens, peintres, écrivains ou encore architectes, professionnels ou amateurs, seront tous sans exception exclus de ce système. Quant aux musiciens et artistes novateurs, ils seront accusés de « bolchevisme culturel ». Néanmoins, certaines formes jugées « impures » perdureront dans l’Allemagne hitlérienne. Ainsi, le jazz, stigmatisé comme « musique nègre » à l’occasion de l’exposition Musique dégénérée organisée en 1938 à Düsseldorf, sera-t-il souvent diffusé à la radio après 1941. De fait, si les nazis confisquèrent à leur profit une partie de la grande tradition artistique et musicale allemande, ils passèrent également maîtres en matière de manipulation, de détournement et de contrefaçon.

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Wornervremsjuch?

Le

Les phénomènes de parole tels que l’écholalie ou la glossolalie sont investis d’un mystère évoquant tour à tour la pathologie, la mystique ou la créativité langagière. Or les algorithmes informatiques ont une propension pour le moins troublante à les produire. Ils seront convoqués pour une performance en langage GeenKrimpien autour du fameux dialogue du chevalier et de la mort d’Ingmar Bergman : la scène des échecs dans son film Le Septième Sceau.

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Quand le silence se met à chanter : l'univers sonore du lied

Le

Cette conférence se propose d’évoquer quelques aspects majeurs de l’univers sonore du lied allemand, en s’arrêtant sur l’un ou l’autre “moment musical” décisif : la véritable naissance du lied en 1814, lorsque, alors âgé de 18 ans, Schubert met en musique Gretchen am Spinnrade (op. 2) de Goethe. Nous esquisserons ensuite, comment - au cours du XIXe siècle en Allemagne, en pleine période romantique - cette forme d'expression musicale cherche à valoriser la parole poétique, en la faisant dialoguer avec l’accompagnement instrumental. Cette affirmation d’André Tubeuf (Le Lied, poètes et paysages, Actes Sud, 2011) : “ le Lied, c’est un abord : Schubert. Une origine : le silence. Et une matière : l'eau.” accompagnera nos réflexions. Notre regard s’ouvrira aussi sur la mélodie française, illustrée dans le récital par Fauré, Berlioz et Duparc.

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Autour du Geister-trio Beethoven, Trio op. 70 n°1 : Le fantastique et la musique

Le

Le lien entre Beethoven et le fantastique est ténu. Mais la postérité a donné au Trio en ré majeur de l’opus 70 le nom « des esprits » ou « des fantômes », parce que le thème du largo du trio devait être retenu pour la scène de sorcières du Macbeth de H. J. Collin d’après Shakespeare. Beckett prend littéralement cette appellation en faisant se rencontrer dans un lieu sans consistance tous les fantômes de son œuvre, qui évoquent ceux des Contes d’Hoffmann. Or ce même Hoffmann, musicien, peintre et poète, est le premier à avoir appliqué le terme de « romantique » à la musique de Beethoven, dans un compte rendu de la 5e symphonie, qui précède de quelques années celui des trios de l’opus 70. On cherchera à retrouver le lien entre plusieurs fils qui se présentent de manière dispersée autour de la notion de fantastique : non seulement le retour des esprits, mais la puissance créatrice de l’imagination, la fantaisie comme bouleversement des formes et des genres, l’accomplissement romantique de l’art dans la musique. Si le fantastique semble appartenir plus à la littérature, à la peinture, au cinéma qu’à la musique, c’est pourtant, comme le dit Beckett, « la musique qui l’emporte ».

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La musique baroque et l’expression des passions : esquisse théorique.

Le

On a été frappé depuis longtemps par le fait que deux auteurs contemporains qui ne se connaissent nullement, René Descartes et Giulio Caccini, ont eu en commun une définition de la fin de la musique, celle de représenter, voire de provoquer des passions. Le fait que cette expression des passions, qui paraît culminer au XVIIe siècle italien dans les madrigaux de Monteverdi, et plus généralement dans le style représentatif à la naissance de l’opéra, figurant la colère, le désespoir, l’amour, la haine, le désir etc., soit aisément identifiable par l’auditeur ne dispense pas d’une réflexion plus théorique sur le moyens mis en œuvre dans cette expression et cette identification : comment savons nous qu’une musique est triste ou gaie ? D’où vient ce qu’un poète et théoricien appelait sa « secrète énergie » ? Il s’agit d’une question classique, nullement limitée à la période baroque, qui est encore aujourd’hui discutée par de nombreux musicologues contemporains dans les domaines musicaux les plus divers.

Le propos de cette intervention est d’examiner brièvement la situation du problème au début du XVIIe siècle, à partir de l’évocation de questions théoriques tels qu’elles se posent au moment d’un renouveau sans précédent des modes de rationalité philosophique et des moyens d’expression artistique. Il sera organisé à partir de la recherche des éléments musicaux auxquels est attribuée une fonction affective dans son rapport avec un texte: rythme et mesure, hauteur, modes, accents, timbre, à travers l’évocation de quelques moments de théorie ou de critique, par exemple de Pontus de Tyard, de Mersenne, ou de Descartes. On terminera sur un problème paradoxal avec lequel Descartes s’explique au tout début et à la toute fin de sa carrière philosophique, à savoir que l’on peut reconnaître une pièce de musique comme triste et néanmoins éprouver de la joie à l’entendre : preuve que ce n’est pas exactement la même chose que de représenter et de provoquer des passions.

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Politique, religion et musique au XVIe siècle : De la chapelle impériale de Vienne à la chapelle ducale de Munich

Le

En dépit de son caractère éphémère, la chapelle de la cour impériale des Habsbourg à Vienne était un ensemble très renommé avec un retentissement bien au-delà de son existence. Créée en 1498 par l’empereur Maximilien Ier, elle compte parmi ses membres les plus grands musiciens de l’époque : Heinrich Isaac et Ludwig Senfl comme maître de chapelle et l’organiste Paul Hofhaimer. Or en 1520, l’année suivant la mort de Maximilien, son successeur Charles Quint dissout la chapelle. Ludwig Senfl, son directeur congédié, entre au service du duc de Bavière et crée à Munich une chapelle selon le modèle impérial à Vienne. Senfl, tout en restant flou concernant ses convictions religieuses, se lie d’amitié avec Martin Luther pour qui il compose un motet. Son successeur, Ludwig Daser, doit quitter son poste après sa conversion au protestantisme, et le duc Albrecht V nomme, en 1563, Roland de Lassus à la tête de la chapelle, inaugurant ainsi la période la plus prestigieuse de la chapelle.

Cette institution, d’abord à Vienne puis à Munich, reflète parfaitement les profondes mutations qui se sont opérées pendant le XVIe siècle en Allemagne : la montée de la puissance de l’empire germanique et la Réforme protestante.

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Conversation avec Gao Xingjian, prix Nobel de littérature 2000

Le

Une conversation avec Gao Xingjian, prix Nobel de littérature en 2000, et Nathalie Bittinger, maître de conférences en cinéma à l’Université de Strasbourg, est organisée jeudi 12 décembre à 18 h au Palais universitaire dans le cadre du séminaire Interarts de la Faculté des arts.

Gao Xingjiang conversera sur sa vision de l’art cinématographique en présence de Nathalie Bittinger. Cette agrégée de littérature, maître de conférences en cinéma, passionnée de littérature et de cinéma chinois a étudié et enseigné les œuvres de Gao Xingjian. Elle a écrit à plusieurs reprises sur les œuvres romanesques et filmiques de Gao Xingjian. Elle définit l’art cinématographique du prix Nobel de littérature comme étant du « "ciné-poème" expérimental, qui propose une alternative au langage cinématographique le plus courant, par son mélange des arts ».

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L’art comme texte. Approches narratologiques, sémiotiques, trans-médiatiques.

Le

DEUXIÈME RENCONTRE INTERNATIONALE
NARRATOLOGIE ET LES ARTS

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Femmes et chefs d'orchestre, pourquoi une telle exception ?

Le

Le service relations Alumni de l'université de Strasbourg organise le 4 juin un concert symphonique au Palais Universitaire. Il sera précédé d'une conférence sur le thème "Femmes et chefs d'orchestre, pourquoi une telle exception ?". Cet événement est ouvert à l'ensemble des alumni de l'Université, ainsi qu'aux étudiants.

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Conférence de Clive Chin : Lost Archives Of 17 North Parade

Le

Né en 1954, Clive Chin fut l'assistant de son père d'abord dans son magasin de disques, Randy's Record Store, puis dans son studio d'enregistrement, le légendaire Randy's Studio 17. Il eut l'occasion d'y travailler avec des artistes aussi importants que The Wailers, Dennis Brown, Lee Perry ou Black Uhuru. Ses enregistrements de 1973 avec Augustus Pablo sont généralement considérés comme l'acte de naissance de la musique dub.
Clive Chin viendra partager avec nous son amour du reggae et du dub, ses nombreuses anecdotes qui illustrent l'histoire des musiques populaires jamaïcaines ainsi que certains des enregistrements tirés de sa collection personnelle.

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Rencontres avec ou autour d'Abbas Kiarostami

Du au

L’idée d'accueillir Abbas Kiarostami à Strasbourg remonte à plusieurs années déjà. L’adhésion successive d’acteurs issus de différents horizons – institutionnels, associatifs, privés – concrétise le projet : du 14 au 24 janvier 2013, Strasbourg reçoit le cinéaste iranien en résidence.

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Les topiques du XIXe siècle et la musique de F. Liszt

Du au

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LES LEÇONS DE L’UNIVERSITÉ D’AVIGNON : Le bruit du monde Le geste et la parole

Le

Depuis 2005, en collaboration avec le Festival
d'Avignon, les Leçons de l'Université invitent chaque
été des personnalités du monde de la culture et des
arts pour une conférence magistrale introduite
par un universitaire. En 2010, Ludovic Lagarde,
Philippe Quesne, Roger des Prés ou François
Bégaudeau ont donné leurs Leçons. Celles de
Bartabas, Max Von Sydow, Ernest Pignon-Ernest
ou Jacques Lassalle ont déjà été publiées aux
Editions Universitaires d'Avignon.
Au mois de juillet 2011, l'Université d'Avignon vous
propose d'écouter des personnalités de la culture
et du spectacle dire leur façon de redonner du
sens aux bruits du monde.
Le 8 juillet, vous pourrez écouter Axel Khan,
le 13 juillet, vous participerez à un après-midi de
leçons proposées dans le cadre du "midi minuit"
inventé en 2008 avec Laure Adler.

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LES LEÇONS DE L’UNIVERSITÉ D’AVIGNON : Le bruit du monde Science, culture et université

Le

Depuis 2005, en collaboration avec le Festival
d'Avignon, les Leçons de l'Université invitent chaque
été des personnalités du monde de la culture et des
arts pour une conférence magistrale introduite
par un universitaire. En 2010, Ludovic Lagarde,
Philippe Quesne, Roger des Prés ou François
Bégaudeau ont donné leurs Leçons. Celles de
Bartabas, Max Von Sydow, Ernest Pignon-Ernest
ou Jacques Lassalle ont déjà été publiées aux
Editions Universitaires d'Avignon.
Au mois de juillet 2011, l'Université d'Avignon vous
propose d'écouter des personnalités de la culture
et du spectacle dire leur façon de redonner du
sens aux bruits du monde.
Le 8 juillet, vous pourrez écouter Axel Khan,
le 13 juillet, vous participerez à un après-midi de
leçons proposées dans le cadre du "midi minuit"
inventé en 2008 avec Laure Adler.

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Savoir(s) en commun 2010 : Corps dans ses états

Le

Pour clôturer l’ensemble des débats quoi de plus naturel que de présenter une nouvelle fois le corps au travers de différents états artistiques. Des doctorants, des enseignants chercheurs, des étudiants de toutes disciplines s’associent pour produire un spectacle qui réunit la danse, la poésie, le multimédia… Ce corps et son devenir qui introduit logiquement des interrogations sur la limite entre la normalité et l’anormalité, entre ce qui est autorisé et ce qui est interdit, entre ce vers quoi l’on veut tendre et ce que l’on refuse. Avec ce thème du corps, c’est certainement aussi la question de la condition humaine et de son devenir qui est proposée.

Une soirée en construction qui se déploiera dans l'ensemble du Palais Universitaire autour de différentes propositions :

Les Corps entravés
Quand le corps est invité à reprendre des silhouettes anciennes ou à adopter des silhouettes nouvelles par l'habit imposé. A partir de quand faut-il inventer de nouveaux mouvements ? Peut-être un nouveau corps pour transmettre du sens dansé ?

Une proposition de Valérie Etter - doctorante en arts visuels, Aurore Heildelberg - doctorante en arts visuels, Sabine Cornu - maître de conférence en STAPS, Pierre Boileau - Performeur.

Mit Händen und Füβen
Jeux de pieds, jeux de mains…
Mouvement infime, oscillation de rythmes, variation d’intensité, une métamorphose.
Déambulation, évolution, deux, une interaction.
Contact, exploration, jeu, une rencontre.
Essai, chemin, éternel retour, le mouvement.

Une proposition de Nadia Foisil - doctorante en Anthropologie sociale et culturelle, Nicole Ratjen - Comédienne, Sandra Wieser - Performeuse, Alice GodfroY - Danseuse


Poésie Sonore
Des mises en formes textuelles et totalement subjectives du corps.
Une proposition d'étudiants multidisciplianires sous la direction de Florent Schmitt - Doctorant en art - Université de Strasbourg en accords avec les Ateliers culturels.

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Savoir(s) en commun 2010 : Le corps instrument

Le

Que l’on soit comédien ou non, le corps est notre premier instrument de communication. La question du langage du corps alimente les réflexions dans l’espace scénique et social. Quel est ce langage ? Comment l’apprivoiser ? Les enjeux de la maîtrise du langage corporel sont-ils les mêmes sur scène et dans la rue ? Un débat où chorégraphe, acteur, sociologue, spécialiste du management, parleront sans détour d’un langage commun.

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Savoir(s) en commun 2010 : Le corps : matrice des sciences et des arts

Le

Les biotechnologies ont aujourd’hui autant leur place dans le monde médical que dans le monde artistique. Ces mondes à priori éloignés l’un de l’autre se rejoignent dans l’utilisation des plus récentes découvertes en biotechnologies. Si leurs objectifs sont différents et peuvent être pour certains d’entre eux fortement discutés c’est avant tout le rapport au corps qui est train de se mettre en place qui est interrogé. Que devient l’identité du genre humain ? Est-il encore besoin de parler de genre, on allons-nous tous vers une espèce de monstruosité établie collectivement ?

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Savoir(s) en commun 2010 : Le(s) corps manipulés

Le

La marionnette est cet autre corps utilisé par le théâtre pour raconter une histoire.
Sur scène la manipulation n’est pas cachée mais qu’en est-il sur la scène de la société ? Entre l’utilisation d’avatar, la dépendance aux machines, les intrigues politiques... nous manipulons et avons l’impression d’être manipulés. Alors qui tire les ficelles ?
Une rencontre sans manipulation entre des spécialistes universitaires, des auteurs de théâtre et le public.

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Savoir(s) en commun 2010 : Du spectacle par Internet : avec ou sans le corps ?

Le

Aujourd'hui l'usage du Web modifie nos vies et les œuvres et à fortiori le rapport entre nos vies et les œuvres, entre nos usages et ceux de l'art. Devons-nous considérer un adolescent qui publie sur internet - vidéo, musique, photo, texte, (et même parfois encore un peu de dessin) - comme un artiste pluridisciplinaire d'avant-garde ? Par quels usages l'artiste se distingue-t-il encore sur la toile ? Entre un corps à l’action bien réel et sa dématérialisation sur la toile, quels sont aujourd’hui les enjeux du spectacle par internet ?

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@rrêt média 2.0 : Usages du Web

Le

Journée d’études organisée par Vivian Fritz, Olivier Crocitti et Florent Schmitt
EA 3402 - « Approches contemporaines de la création et de la réflexion artistique ».
Le Web peut être support à la construction d'un espace commun virtuel à partir de différentes localités, mais il n'en reste pas moins que chacun y participe depuis un espace réel, et que les relations créées sur la toile s'ancrent dans des pratiques quotidiennes. A une ubiquité rêvée s'oppose la réalité du corps : reste à savoir si sa dématérialisation demeure une utopie de cybernéticien ou si elle est en voie de s'imposer comme un véritable paradigme du Web.
Si d'un côté le Web est le lieu du virtuel, il ne faut pas oublier que d'un autre côté l'essor actuel des sites de réseaux sociaux (My Space, Facebook, Msn etc.) en fait aujourd'hui un lieu privilégié pour l'inscription de rapports sociaux entre des personnes. Le principal enjeu artistique d'internet est pour nous celui du réseau, mais c'est un enjeu que les pratiques artistiques ne font que révéler, car il est depuis toujours présent dans les autres usages du Web, et lui est intrinsèque

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Forum d'Avignon 2010 : Attractivité culturelle et performance économique : quels emplois, quelles stratégies pour les villes et les territoires ?

Le

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« French-Japanese Workshop on Science for Conservation of Cultural Heritage »

Du au

La Société Japonaise pour le Patrimoine de la Science (JSPS), le Ministère de la Culture et de la Communication et le Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) organisent « French-Japanese Workshop on Science
for Conservation of Cultural Heritage ».

l'objectif du colloque est de promouvoir les collaborations entre la France et le Japon dans le domaine de la recherche scientifique appliquée à la connaissance de l'art et de sa conservation.

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Journée d'études : Cervantès et le roman

Le

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Journée d’étude internationale : Jazz, musiques improvisées et écritures contemporaines : convergences et antinomies

Le

L’Université Marc Bloch : Equipe de recherches EA 3402 (« Approches contemporaines de la réflexion et de la création artistiques »),Le Festival Jazzdor et Le Conservatoire National de Région de Strasbourg présentent :
« Jazz, musiques improvisées et écritures contemporaines : convergences et antinomies »

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Colloque HERNANI : Quatre siècles d’opéras italiens inspirés par la littérature française

Du au

Organisation • Damien Colas et Alessandro Di Profio. -
De sa naissance à nos jours, l’opéra italien ne cessa de s’enrichir au contact des littératures européennes. Parmi ces dernières, la littérature française, et en particulier le théâtre, a toujours occupé une place privilégiée. De tout temps, compositeurs, librettistes et théoriciens italiens se tournèrent de l’autre côté des Alpes à la recherche de modèles et de sujets d’inspiration. Cependant, le genre de l’opéra italien possédait une poétique propre, liée aux conditions de production, à la mobilité des musiciens et au fonctionnement des théâtres d’Italie. Pour adapter une source française sur la scène italienne, il était donc nécessaire d’en extraire la matière pour la retranscrire selon les codes de représentation typiques de l’opéra italien. Les échanges entre le théâtre français et l’opéra italien se caractérisent donc par le double jeu de proximité et de distance qui existe entre les deux genres.
À la lumière des développements récents de la recherche en dramaturgie musicale, en études interculturelles et intermédiales, le colloque se propose d’examiner les multiples questions auxquelles se confrontaient traducteurs, adaptateurs, librettistes et compositeurs dans leur réécriture de pièces, romans ou poèmes français pour la scène lyrique italienne.
Département de musique et de musicologie • Tours

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Colloque ASDIFLE-Université Paris Dauphine : L’interculturel : un champ pluridisciplinaire de recherche

Le

Au lendemain de la signature de la Charte pour la Diversité culturelle, où la connivence culturelle et la compétence interculturelle sont plus que jamais les clés de la communication internationale, ce colloque rassemblera des spécialistes de la diversité culturelle et linguistique comme le philosophe François Jullien, le linguiste Louis-Jean Calvet,la philosophe Barbara Cassin, l’écrivain Leila Sebbar, et d’éminents chercheurs internationaux de l’Université Paris-Dauphine, experts de la réflexion économique et sociale .
Ces deux journées de travail se proposent d'élargir le champ de vision des étudiants et doctorants, formateurs, décideurs, citoyens du monde,pour un regard kaléidoscopique sur l’Autre enrichi par une approche transversale de l' interculturel .

Ces rencontres à l'interface de plusieurs disciplines universitaires et de professionnels de l’ approche des langues de spécialités et du Français Langue Etrangère émanent d'une synergie recherchée par le CIClaS et l’ASDIFLE .

L’ASDIFLE (Association de Didactique du Français Langue Etrangère) fondée en 1986 par le professeur Louis Porcher , qui fêtera ainsi son 20ème anniversaire, est une association d’enseignants et d’étudiants, de chercheurs et d'auteurs spécialistes de didactique des langues, réunis autour des questions d’enseignement du français et de communication en français.En 2006, l’Asdifle compte 740 membres dont 190 à l’étranger et 1900 sympathisants impliqués dans les métiers du Français Langue Etrangère en France (formation initiale et continue, promotion et diffusion de la langue et de la culture françaises, conception de supports multimédia, numériques et traditionnels, édition ).

Le CICLaS de l’Université Paris Dauphine - Centre de recherche Interdisciplinaire sur les Identités et interactions culturelles et Langues de Spécialité -, organise depuis 2002 des Rencontres qui réunissent autour de la langue française et des langues de spécialité ,des universitaires en économie, gestion et autres sciences humaines ainsi que des professionnels du monde de l’entreprise et des étudiants chercheurs internationaux

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Journée Art et Sciences : Applications optiques pour la conservation et la restauration des oeuvres du patrimoine

Le

Cette conférence, exceptionnelle tant par la qualité des conférenciers que par les sujets traités, donnera à un large public l’état de l’art et l’intérêt des utilisations de l’optique et de la photonique dans le domaine des oeuvres du patrimoine.
Public : Etudiants, chercheurs et enseignants des Ecoles d’Ingénieurs, des Universités, du CNRS, des IUT et BTS et des personnels des Organismes et Institutions Régionales sensibles à ce sujet.

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Giboulées de la marionnette : Journée d'étude sur les arts de la marionnette

Le

Le Théâtre Jeune Public, Centre dramatique national d'Alsace organise du 12 au 27 mars 2004 la 15ème édition du festival des Giboulées de la marionnette.

Les « Giboulées 2004 », ce sont, pour petits et grands : 28 spectacles (dont 5 créations) présentés par 24 compagnies nationales et internationales (Pays-Bas, Chine, Allemagne, Tchéquie, Russie, Italie, Belgique, Suisse, Etats-Unis, Taïwan...). Ce sont aussi des soirées cabaret, des parcours « surprise », des expositions, des journées professionnelles de formation aux arts de la marionnette, un colloque sur l'enseignement et la formation.
La journée d’étude du 16 mars portera sur les arts de la marionnette

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Musiques vocales en Italie depuis 1945

Du au

Esthéthique, relations texte-musique, techniques de composition

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